La Commission faisait toutefois preuve de vigilance et
défendrait tous les intérêts communautaires non sans continuer à d
éployer des efforts pour améliorer la sécurité de son réseau informatique. Au cours de la séance plénière du 18 septembre, M. Bangemann, membre de la Commission, déclarait que la Commission ne disposait d'aucune informatio
n émanant des États membres ni de citoyens ou d'
entreprises selon ...[+++] lesquelles le système d'interception existerait tel qu'il est décrit, ajoutan
t que si ce système existait bien, il s'agirait naturellement là d'une violation flagrante du droit, des droits individuels des citoyens et bien entendu également une atteinte à la sécurité des États membres, la chose est parfaitement claire, et que dès le moment où on constaterait officiellement un tel état de f
ait, le Conseil et, cela va de soi, la Commission et le Parlement se devaient de réagir.