L’autonomie dont il est ici question repose donc sur la capacité de reconnaître la présence, la différence et l’équivalence de l’autre, permettant d’assumer respectivement la solitude, la finitude et l’incertitude, pour cultiver en retour la solidarité, la dignité et la liberté.[6]
This autonomy is based on the ability to recognize the existence, the difference, and the equivalence of the other, allowing one to assume solitude, finiteness and uncertainty, respectively, to then move on to practice solidarity, dignity and liberty in return.[6]