En outre, à la page 234 de la deuxième édition de son ouvrage intitulé Le privilège parlementaire au Canada, Joseph Maingot explique qu'avant que le Président ne décide que la question de privilège semble fondée à première vue à l'égard d'une déclaration délibérément trompeuse, il faut qu'une personne exerçant l'autorité, comme un ministre de la Couronne ou un fonctionnaire d'un ministère, admette les faits.
At page 234 of the second edition of Joseph Maingot's Parliamentary Privilege in Canada, it explains that in order for the Speaker to find a prima facie case in a matter involving a deliberate misleading statement, there must be “an admission by someone in authority, such as a minister of the crown or an officer of a department”.