Il a ajouté que son expérience politique depuis 1974 confirmait que tout citoyen pouvait porter une requête au bureau du premier ministre, que ce dernier acheminait la requête vers le ministre concerné, qu'un rendez-vous n'était pas un privilège et que n'importe quel citoyen avait le droit d'être entendu.
He added that, in his political experience, dating back to 1974, any citizen can make a request to the prime minister's office, who may then forward it to the minister involved, that it is not a privilege to have a meeting and that any citizen has the right to be heard.