D'après une étude récente[4] sur l’impact économique de l'assouplissement du régime des visas de court séjour, le nombre de voyageurs dissuadés de se rendre dans l’espace Schengen par les exigences actuellement imposées en matière de visa aux six pays tiers examinés représente des pertes de PIB substantielles, qu’elles soient directes, indirectes ou induites.
A recent study[4] on the economic impact of short-stay visa facilitation concludes that the number of travellers deterred from coming to the Schengen area by current visa requirements for the six third countries examined represents a significant direct, indirect and induced lost contribution to GDP.