Prenez enfin acte de ce que les promesses faites en 1963 à Ankara, en pleine guerre froide et pour des raisons stratégiques, n’ont plus de raison d’être, et que nous perdrions moins de temps, Turcs comme Européens, à réfléchir à un partenariat privilégié qu’à une adhésion dont nos citoyens ne veulent pas et que beaucoup de Turcs contestent aussi.
Finally, acknowledge that the promises made in 1963 in Ankara, at the height of the Cold War and for strategic reasons, are no longer relevant, and that we – Europeans and Turks alike – would waste less time if we were to consider a privileged partnership rather than membership, which our citizens do not want and which many Turks are also against.