Given her answer and the fact that the CBC's francophone employees do not have access to their collective agreement in French, that they must sign a petition and appeal to the Commissioner of Official Languages to get one, will the minister admit, without trying to dodge the issue, that this situation provides a concrete example of how Canada's francophones are indeed treated like second-class citizens?
Compte tenu de sa réponse et du fait que les francophones de CBC n'ont pas accès à leur convention collective en français, qu'ils doivent signer une pétition et faire appel au commissaire aux langues officielles pour l'obtenir, la ministre reconnaît-elle, sans faux-fuyant, que cette situation est un exemple concret que les francophones du Canada sont en fait des citoyens de deuxième classe?