As for the Sharm el-Sheikh disaster, even if the precise technical cause is not yet known, everyone knows that the airlines, including the one that owned that a
ircraft, make their profits by turning their aircraft
round more quickly, extending their flying time, taking on staf
f who are less well paid and often not trained well enough or by cutting maintenance and techni
...[+++]cal inspections to the mandatory minimum.
Quant à la catastrophe de Charm El-Cheikh, même si on en ignore encore la cause technique exacte, tout le monde sait que les compagnies, comme celle qui est propriétaire de l’avion, font leur profit en imposant une rotation plus rapide à leurs avions, en allongeant le temps de travail, en embauchant du personnel plus mal payé et souvent pas assez formé ou en réduisant au minimum obligatoire l’entretien et les contrôles techniques.