Selon le grand chef Stewart Phillip, également président de l'Union of British Columbia Indian Chiefs, le projet de loi C-33 constitue un autre exemple du contrôle que le Canada exerce. Le gouvernement fédéral exigerait que le ministre des Affaires autochtones demande l'avis du Comité mixte de professionnels de l’éducation, mais il laisse tous les pouvoirs dans les mains du ministre. Les Premières Nations seraient donc obligées de choisir parmi les éléments établis par le gouvernement fédéral.
Bill C-33 reflects Canada’s interpretation of control by ensuring that control remains with the Minister of Aboriginal Affairs with 'advice' from a Joint Council of Education Professionals leaving First Nations across the country to choose from the menu set by the federal government” stated Grand Chief Stewart Phillip, UBCIC President.