Au Canada, l’affaire Gilles Grégoire (Lapointe), en 1965, semble indiquer que, sur autorisation de la Chambre, l’arrestation d’un député peut se faire dans l’enceinte du Parlement, et qu’à cet égard, les terrains entourant les édifices du Parlement sont réputés ne pas faire partie de l’enceinte du Parlement .
In Canada, the 1965 case of Gilles Gregoire (Lapointe) would suggest that a Member could be arrested within the precinct of Parliament with the permission of the House and that the grounds surrounding the Parliament buildings do not constitute a part of the precinct of Parliament.