Ce décalage s'explique, d'une part, par des rentrées fiscales moins importantes que prévu et, d'autre part, par un dérapage des dépenses primaires (essentiellement au niveau des rémunérations et des transferts), qui n'ont été que partiellement compensés par les recettes, non budgétisées, générées par la vente de licences UMTS (soit 0,4 % du PIB environ).
This was due to both a shortfall in tax revenues and to an overrun in primary expenditure (mainly wages and transfers), only partly offset by non-budgeted receipts of around 0.4% of GDP from the sale of UMTS licences.