D’autres soutiennent que, malgré l’abrogation de l’article 4 du Statut de Westminster, le préambule de ce dernier, y compris le deuxième attendu, qui fait expressément partie de la Constitution canadienne, pourrait être considéré comme le fondement législatif sur lequel le Parlement du Canada s’appuierait pour donner son assentiment aux modifications des règles de succession42.
It has also been suggested that while section 4 of the Statute of Westminster has been repealed, its preamble, including its second recital, which is expressly part of Canada’s Constitution, could be seen as the legislative basis on which the Canadian Parliament may assent to changes to the rules of succession.42