It treats the new Member State citizens as second class, contrary to all the promises they were given, and it displays – as on so many other issues such as Iraq, the Constitution and the budget – a depressing lack of EU solidarity.
Cet état de panique laisse à penser que les citoyens des nouveaux États membres sont des citoyens de seconde classe, à l’encontre de toutes les promesses qu’ils ont reçues, et il démontre - comme dans beaucoup d’autres questions, comme celles de l’Irak, de la Constitution et du budget - l’absence démoralisante de solidarité au sein de l’UE.