Après son passage, l'évêque Camus, qui figurait parmi les plus farouches opposants de Pinochet, a dit qu'on voyait déjà clairement que « le Chili ne serait plus jamais le même » et qu'« aucun pays où s'était rendu le pape était demeuré inchangé après son départ ».
Following his visit, Bishop Camus, a strong opponent of Pinochet, said it was already clear that “Chile will not be the same.No country the Pope has visited has remained the same after his departure”.