Si l'État souhaite protéger de leurs harceleurs les victimes innocentes et vulnérables, peut-il, représenté par une tierce partie, éventuellement un agent de police, éprouver de la crainte en lieu et place de la personne ciblée?
If, as a state, we are trying to protect innocent and vulnerable victims from predators, cannot the state, represented by a third party, perhaps a police officer, fear for the person?