Mais que les États-Unis se permettent de faire la morale à Cuba sur la question des droits de la personne alors qu'un nombre record d'enfants américains vivent dans la pauvreté, que les sans-abri sont légion, que 37 millions d'Américains n'ont pas d'assurance médicale, que les sidatiques en sont réduits à mendier pour survivre sans même un toit sur la tête et que la criminalité atteint des niveaux encore jamais vus, est d'une hypocrisie flagrante.
For the United States to lecture Cuba on human rights when it has a record of child poverty, of homelessness, of 37 million Americans with no health insurance whatsoever and of people with AIDS begging for funds to survive in the streets with unprecedented levels of crime, reeks of hypocrisy.