L'Agence des services frontaliers du Canada a simplement pris le passeport de Mme Goodman lorsqu'elle est entrée au Canada, lui a permis de prononcer un discours et, 48 heures plus tard, lui a demandé de quitter le pays en lui remettant son passeport — encore une fois, sans l'avoir privée de sa liberté d'expression.
Canada border security simply took Ms. Goodman's passport when she entered Canada, allowed her to speak and 48 hours later, asked that she leave the country and they returned her passport — again, not preventing her from having freedom of speech.