De surcroît, le projet de loi C-25 risque de créer une fonction publique dans laquelle les gestionnaires de première ligne auront le pouvoir de compromettre l'avancement professionnel des employés qui dénoncent de l'intérieur la mauvaise gestion et les conduites répréhensibles du gouvernement, qui exercent leurs droits de recours ou de présenter des griefs, qui sont des militantes et des militants syndicaux ou qui assurent la représentation pour le compte de leurs compagnons et compagnes de travail.
If that were not enough, Bill C-25 has the potential to create a public service characterized by front-line managers with the direct authority to affect the career advancement of employees who speak out in the face of mismanagement or wrongdoing, who exercise recourse or grievance rights, who are union activitists or who provide representation on behalf of their co-workers.