Il a reconnu la tendance naturelle à favoriser ce qu'il a appelé la « politique du chacun pour soi », affirmant sans équivoque que le commerce était à terme profitable à tous les pays et se faisant rassurant vis-à-vis des Canadiens en soulignant vouloir « accroître le commerce, non le réduire ».
He acknowledged the universal tendency to push what he termed beggar-thy-neighbour policies, but he stated unequivocally that trade ultimately is beneficial to all countries and assured Canadians that he wants to grow trade, not contract it.