Trois cycles de cette étude, avec une erreur de moins de 0,001 —, ce qui est moins de 1 p. 100 et vraiment la plus petite erreur possible dans une étude — révèlent que les trois facteurs de la surreprésentation sont la pauvreté, les mauvaises conditions de logement et les toxicomanies, tous remédiables, heureusement, grâce à des interventions ciblées, adaptées aux différences culturelles.
Over three successive cycles of that study, with an error rate of less than .001—which is less than 1% and really the lowest possible rate of error you can get in a study—it says that the three factors driving the overrepresentation are poverty, poor housing, and substance misuse, all factors that we can do something about, thankfully, with culturally based and targeted interventions.