Face à cette Banque-État ou à cette sa
inte Banque - je ne sais comment exactement la qualifier -, dont votre vice-président, M. Noyer, nous expliquait récemment benoîtement, mais en anglais, combien elle se sentait comptable du l
ong terme quand les gouvernements cédaient, eux, aux caprices du court terme puisqu’ils étaient soumis aux aléas du suffrage universel, face donc à la toute puissance de cette Banque, l’excellent rapport de notre collègue Huhne réclame davantage de transparence, sans oser d’ailleurs aller jusqu’à vous réclamer
...[+++] ce qui pourrait passer pour de l’exhibition, c’est-à-dire sortir de l’anonymat des décisions.