Given the potential number of breaches that could be reported, such a regime would increase costs and burdensome compliance procedures for Canadian businesses and would impose an unwieldy financial and administrative burden on the Office of the Privacy Commissioner, generating more costs than benefits for taxpayers.
Compte tenu du nombre d'atteintes qui pourraient devoir être signalées, un tel régime aurait pour effet d'augmenter les coûts et d'alourdir le fardeau des procédures de conformité pour les entreprises canadiennes, et d'imposer un énorme fardeau financier et administratif au Commissariat à la protection de la vie privée, ce qui entraînerait plus de coûts que d'avantages pour les contribuables.