Finally, another reason for the weak opposition put up by doctors to state control over prescriptions lay in the fact that these administrative directives did not in themselves constitute a major public issue and, what is more, the possible penalties did not involve criminal prosecutions but only written warnings.
Finalement, une autre source justifiant la faible opposition des médecins face aux interventions policières en matière de prescription résidait dans le fait que ces directives administratives ne constituaient pas en soi un enjeu public important et que, d’autre part, les sanctions possibles n’entraînaient pas de poursuites criminelles, mais seulement des avertissements écrits.