Despite the Netherlands’ image, to which it is attached, of being a progressive country, clear policy on genital mutilation has been too long in coming, and even now, the Dutch Government has not yet decided in favour of a notification requirement for health professionals, because it fears that the public will avoid seeking medical help if is used for enforcement purposes.
Malgré l’image de pays progressiste qui colle aux Pays-Bas, une politique claire en matière de mutilations génitales s’est fait attendre trop longtemps, et au moment où je vous parle, le gouvernement néerlandais ne s’est toujours pas prononcé en faveur d’une obligation de déclaration pour les professionnels de la santé, parce qu’il craignent que les citoyens évitent de les consulter si les déclarations sont utilisées à des fins répressives.