In other words, even if we were imposing a strict quota - which I repeat is not the case - American production could still benefit from half of the expanding European market, meaning some 200 000 hours of various programmes, compared to the present level of 80 000 hours.
En d'autres termes, même si nous étions amenés à appliquer un quota strict - ce qui, je le répète n'est pas le cas - il resterait aux productions américaines une moitié du gâteau, soit à termes l'équivalent de 200 000 heures de programmes par an, alors que leur part actuelle s'élève à environ 80 000 heures.