Various interest groups, including the privacy commissioner, le Barreau du Québec and the national action committee on the status of women, suggested that the bill did not contain sufficient safeguards to protect the use of DNA profiles from the samples of victims, cleared suspects and people who volunteer samples to help police.
Divers groupes d'intérêts, y compris le commissaire à la protection de la vie privée, le Barreau du Québec et le Comité canadien d'action sur le statut de la femme, ont laissé entendre que le projet de loi ne renfermait pas des garanties suffisantes pour empêcher l'utilisation de profils d'identification génétique provenant des échantillons fournis par les victimes, les suspects innocentés et les personnes qui fournissent volontairement des échantillons pour aider la police.