En effet, les aspects suivants ne cessent de revenir dans les interventions: (1) la « coopération » et la « coordination » entre les Parlements nationaux, (2) le respect de l'architecture institutionnelle de l'Union européenne, (3) la volonté d'avoir des discussions politiques et non pas procédurales, (4) le souhait de pouvoir disposer au préalable d'informations sur les programmes de la Commission, (5) l'organisation d'une « sema
ine européenne » au sein des Parlements nationaux et (6) l'organisation d'une « COSAC-bis » où seraient invités les représentants spécialisés en ce qui concerne les aspects sécurité et défense sans que la COSAC
...[+++]ne puisse devenir une « troisième chambre ».