Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «pensé que tout allait recommencer » (Français → Néerlandais) :
Et mon cœur a sombré, parce que j'ai pensé que tout allait recommencer.
En mijn hart zonk, omdat ik dacht: hier zijn we weer.
J'ai pensé que peut-être, un jour, puisque tout allait si bien, puisque j'avais enfin quelqu'un qui prenait soin de moi, peut-être, un jour, je pourrais être cette ballerine.
Als het meeviel, zou ooit iemand om me geven, zou ik eindelijk iemand hebben die om me gaf. Misschien kon ik ooit deze ballerina zijn.
Et c'est pourquoi les gens ont choisi de travailler chez eux, ou alors il
s peuvent peut-être aller au bureau, mais ils peuvent peut-être aller au bureau très tôt le matin, ou tard le soir quand il n'y a personne, ou il
s restent après que tout le monde soit parti, ou ils y vont le weekend, ou ils font le travail dans l'avion, ou ils font le travail dans la voiture ou dans le train parce qu'il n'y a rien pour les distraire. Vous pouvez être distrait par différentes choses, mais il n'y pas rien d'aussi mauvais pour vous distraire que ce
...[+++]dont je vous parlerai dans une minute. Et tout ce phénomène qui consiste à avoir de courtes périodes intensives pour travailler me rappelle autre chose qui ne marche pas quand vous êtes interrompu, et il s'agit du sommeil. Je pense que le sommeil et le travail sont très liés. Et ce n'est pas seulement que vous pouvez travailler quand vous dormez et que vous pouvez dormir quand vous travaillez. Ce n'est pas vraiment ce que je veux dire. Je parle précisément du fait que le sommeil et le travail sont basés sur des phases, ou sont des évènements qui se basent sur des stades. Donc le sommeil fonctionne en phases ou stades de sommeil -- certains les appellent autrement. Il y en a cinq, et pour atteindre les phases profondes, celles qui sont importantes, vous devez passer par les phases précédentes. Et si on vous interrompt pendant que vous passez par les premières phases -- si quelqu'un se cogne dans votre lit, ou s'il y a un bruit, ou quoi que ce soit -- vous ne reprenez pas là où vous vous êtes arrêté. Si on vous interrompt et qu'on vous réveille, vous devez recommencer. Vous devez donc revenir quelques phases en arrière et recommencer.
D
aarom verkiezen mensen om thuis te werken, of ze gaan wel naar kantoor, maar dan erg
vroeg op de dag, of laat op de avond als er niemand is, of ze blijven achter nadat iedereen is vertrokken, of ze gaan in het weekend of ze maken het werk af in het vliegtuig, of ze doen het werk in de auto of in de trein omdat er geen afleiding is. Daar zijn wel andere soorten afleidingen, maar niet de echt storende afleidingen. Ik zal het er zo over hebben. Dit hele fenomeen van korte brokjes tijd om werk te doen, herinnert me aan iets anders waarbi
...[+++]j je niet gestoord wilt worden: slaap. Ik denk dat slaap en werk veel overeenkomsten hebben. Niet alleen omdat je kunt werken tijdens je slaap en kunt slapen tijdens je werk. Dat bedoel ik niet echt. Ik heb het specifiek over het feit dat slaap en werk gebeurtenissen zijn die bestaan uit fasen, of stadia. Slaap gebeurt dus in fasen of stadia -- mensen gebruiken verschillende namen. Er bestaan er vijf, en om de echte, betekenisvolle, diepe slaap te krijgen. moet je eerst door de vroege stadia heen. Als je gestoord wordt tijdens een van de vroege stadia -- als iemand tegen je aanstoot in bed, of door een geluid, of wat er ook gebeurt -- dan ga je niet door waar je gebleven was. Als je slaap onderbroken wordt, moet je opnieuw beginnen. Je moet een paar fasen terug en opnieuw beginnen.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant
. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die
...[+++]binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Et ce qui est tellement frustrant, c'est que
ce n'est pas un cas unique ; ça se produit dan
s tout le monde en développement. 35 millions d'opérations sont tentées chaque année sans anesthésie sûre. Mon collègue, le docteur Paul Fenton, vivait cette réalité. Il était le responsable de l'anesthésiologie dans un hôpital au
Malawi, un CHU. Il allait travailler tous les jours dans une salle d'opération comme celle-ci, et essayait d'administrer une anesthésie et d'e
nseigner à ...[+++] d'autres comment le faire en employant le même équipement qui devenait si peu fiable, et absolument pas sûr, dans son hôpital. Et après une énième opération, et vous pouvez imaginer, une tragédie vraiment indicible, il a dit simplement, « C'est bon, j'abandonne. Ça suffit. Il doit y avoir mieux que ça. » Alors il s'est rendu au bout du couloir jusqu'à l'endroit où on jetait toutes ces machines qui les avaient lâchés, je pense que c'est le terme scientifique exact, et il s'est mis à bricoler. Il a pris une pièce d'ici et une autre de là, et il a essayé de fabriquer une machine qui travaillerait dans la réalité à laquelle il était confronté.
Wat zo frustrerend is: dit is geen unieke gebeurtenis. In de ontwikkelingslanden gebeuren elk jaar 35 miljoen operaties zonder veilige anesthesie. Mijn collega, Dr Paul Fenton, maakte dat mee. Hij was hoofdanesthesioloog in een ziekenhuis in Malawi, een academisch ziekenhuis. Hij werkte elke dag in een operatiekamer als deze. Hij probeerde anesthesie te leveren, en anderen te leren dit te doen met diezelfde machine die in dit ziekenhuis zo onbetrouwbaar en, eerlijk gezegd, onveilig was. Na talloze operaties en zoals je je kan voorstellen, onuitsprekelijke tragedies, zei hij: Genoeg geweest.
Ik ben het zat. Er moet iets beters komen. Hij
...[+++]ging kijken tussen al die machines die er de brui aan hadden gegeven - ik denk dat dat de wetenschappelijke term is - en hij begon daar wat te knutselen. Hij verzamelde wat onderdelen en probeerde een machine te bedenken die zou werken in de realiteit waarmee hij werd geconfronteerd.Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne se fai
t pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois que c'est cassé », nous n'aimerions pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'une situation douloureuse, embarrassante, difficile, une situation drôle, que
nous apprécions. Je ...[+++]pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n v
rienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. H
...[+++]et lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. Ik kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij. Et j'ai pensé: Wow, ça, c'est quelque chose qui doit être adopté par l'art cinématographique ». Alors, avec Terminator 2 , qui était mon film suivant, nous avons poussé cela beaucoup plus loin. En travaillant avec ILM, nous avons créé le mec en métal liquide du film. Le succès tenait au fait que cet effet fonctionne ou pas. Et ça a marché. Et à nouveau nous avons créé la magie. Et nous avons eu le même résultat avec le public Même si nous avons fait un peu plus d'argent sur ce coup. Ainsi, en tirant un trait entre ces deux points
d'expérience, ce à quoi on était arrivés, q ...[+++]ue ça allait être un tout nouveau monde, c'était tout un nouveau monde de créativité pour les artistes du cinéma.
en ik dacht: Wow, dit is iets dat omhelsd moet worden in de filmkunst. Dus, met terminator 2 , wat mijn tweede film was, gingen we hier veel verder in. Werkend met ILM, creëerden we de vloeirbaar metalen gast in die film. Het succes hing ervan af of dat effect zou werken. En dat deed het. En we creëerden opnieuw magie. En we hadden hetzelfde resultaat met het publiek. Al verdienden we een beetje meer geld op die film. Dus, om een lijn te trekken tussen die twee punten van ervaring, leidde tot, dit wordt een hele nieuwe wereld, een hele nieuwe wereld van creativiteit voor filmartiesten.
Mais pour un libéral, c'est tout comme si ce chien allait se présenter pour l'investiture républicaine. (Rires) Donc vous pourriez dire, OK, Ce sont les différences entre libéraux et conservateurs, mais qu'ont de moral ces trois autres fondations ? Ne sont-elles pas juste les fondations de la xénophobie, de l'autoritarisme et du puritanisme ? Qu'ont-elles de moral ? La réponse, je pense, est présente dans cet incroyable triptyque de Jérôme Bosch, Le jardin des délices . Dans le premier tableau, nous voyons le moment de la création.
Maar voor liberalen klinkt het alsof die hond kandidaat is voor de Republikeinse nominatie. (Gelach) Dus kan je zeggen: ok, er zijn verschillen tussen liberalen en conservatieven, maar hoe komt het dat die 3 andere fundamenten moreel zijn? Zijn ze niet de fundamenten van xenofobie, autoritarisme en puritanisme? Waarom zijn ze moreel? Volgens mij vind je het antwoord in dit ongelooflijke drieluik van Jeroen Bosch, De tuin der lusten . In het eerste paneel zien we het moment van de schepping.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
pensé que tout allait recommencer ->
Date index: 2022-12-12