Si nous avions à considérer que la voie retenue serait de traduire les règlements — si on se retrouvait, par exemple, dans le même contexte que celui du Manitoba selon lequel la Cour suprême nous exhorte à traduire, voulant alors être raisonnable, rationnel et pratique, quelle serait alors, selon votre expérience de l'administration légale au Canada, l'approche à privilégier?
If we were to suppose that the decision was to translate the regulation — if we found ourselves, for instance, in the same position as Manitoba, where the Supreme Court enjoined us to translate, if we wanted to be reasonable, rational and practical, according to your experience of legal administration in Canada, what approach should we choose?