Il y a eu, ces derniers mois, une recrudescence de prat
iques qui ont cours depuis plusieurs années déjà, telles que la réduction du nombre d’écoles et de classes de langue polonaise, la lituanisation forcée des noms de famille, la non-restitution des biens confisqués il y a
plusieurs décennies par les autorités soviétiques (alors que, pour les Lituaniens, la reprivatisation s’est pratiquée à bien plus grande échelle), l’interdiction, en violation flagrante des normes européennes, des noms polonais de localités et de rues dans les zone
...[+++]s habitées par la minorité polonaise et les tentatives visant à restreindre les pouvoirs des députés représentant la minorité polonaise au parlement lituanien.