Nous constatons que le juge O’Connor, président de la Commission d’enquête sur l’affaire Maher Arar, a affirmé en septembre 2006, dans la recommandation 15 de son rapport, que les organismes canadiens devraient identifier les renseignements provenant de pays aux antécédents douteux en matière de droits de la personne, en étudier les implications sur le plan des droits de la personne et prendre les mesures adéquates pour en évaluer la fiabilité[46].
We note that, in September 2006, Justice O’Connor, who headed the Commission of Inquiry relating to Maher Arar, stated in his Recommendation 15 that Canadian agencies should identify information that comes from countries with questionable human rights records, consider the human rights implications, and take proper steps to assess the information’s reliability.[46] We reiterate these views.