J’ai bien peur que les
événements extrêmes soient devenus la normalité: les sécheresses, pluies, cyclones, inondations sont les effets d’un processus de désertification qui, hélas, frappe l’Europe, et en particulier l’Europe méditerranéenne et orientale et qui, e
nfin, fait payer un prix très lourd à l’agriculture, parce que ces catastrophes engendrent une crise économique, creusant un gouffre sans fond dans les coûts de production et réduisant considérablement les marges de marché des produits
...[+++] agricoles, au point même de compromettre, lors d’un été comme celui-ci, la poursuite de l’activité des entreprises dans de vastes zones de l’Europe.
I am afraid that extremes have become the norm: drought, rain, cyclones and floods are the effects of a process of desertification which I am sad to say is affecting Europe, in particular southern and eastern Europe, and, ultimately, taking a very heavy toll on farming, for these disasters are generating an economic crisis, opening up a bottomless pit of production costs and sharply reducing the market margins for farm produce, in such a way as to jeopardise, in a summer such as this, even the pursuit of entrepreneurial activity in large areas of Europe.