Si ce pourcentage est toujours aussi élevé, à 83 p. 100—c'est le pourcentage de détenus considérés comme violents ou comme présentant une menace—, comment pouvons-nous songer à les remettre en liberté, surtout lorsqu'on sait que l'infrastructure et le soutien communautaire sont inexistants ou insuffisants, que les ressources disponibles ne permettent pas de se charger d'une personne dangereuse remise en liberté, qu'on considère comme une menace pour la société?
If this percentage is still so high, at 83%—that's an inmate deemed to be violent or a threat—how can we talk about releasing them, particularly given the knowledge we have that the infrastructure and the support in the community is not there, is not sufficient, that resources don't exist to meet the demands of releasing a dangerous person who has been deemed a threat to society?