Ainsi, lorsque nous parlons de renvoyer des personnes, nous avons, bien entendu, le droit de demander des comptes au Pakistan en matière de violations des droits de l’homme, mais nous devons avant tout faire confiance aux juges et tribunaux de nos États membres, et nous pouvons peut-être veiller à ce que les droits de l’homme des individus ne soient pas violés.
For this reason, when we talk about returning people, we obviously have every right to call to account Pakistan over human rights violations, but we should primarily trust in the judges and courts of our Member States, and we can perhaps make sure that the human rights of individuals are not violated.