En Europe, à l'inverse, ces chiffres sont respectivement de 75 % et d
e 25 %. Ces données pourraient donner à penser que les apporteurs américains de capital-risque sont, en général, plus expérimentés
et plus désireux de suivre une stratégie à long terme, c'est-à-dire d'investir en plusieurs tranches successives, q
ue leurs homologues européens, semble-t-il plus «novices» et chez lesquels une unique injection massive de capital est p
...[+++]lus courante.