On prévoit maintenant que la croissance réelle de notre PIB pour l'année en cours sera de 1,5 p. 100, al
ors qu'à cet égard, nous avions affiché un superbe 4,7 p. 100 en 2000 et que
le ministre Martin avait prédit, pas plus tard qu'il y a six mois, un beau 2,5 p. 100. Les perspectives pour 2002 sont également sombres, avec une prévision de croissance ramenée à un maigre 1,2 p. 100, soit tout juste un peu plus du tiers des 3,4 p. 100 qu'avait prévus le ministre des Finances, Paul Martin, il n'y a de cela que six moi
...[+++]s.