La communication de la Commission reconnaît le problème mai
s ne propose pas de mesures concrètes, car elle est enfermée dans la logique de la libéralisation du marché et de la concurrence, et les propositions qu’
elle peut faire ne touchent pas au fond d’une réalité cru
elle - notamment pour les enfants -, c
elle de l’entière licence dont jouissent les multinationales, lesqu
elles, dans leur chasse au profit, ne se soucient aucunement des impacts de leurs programmes et de leurs produits et transfèrent l’entière responsabilité
aux parent ...[+++]s, en les invitant même à consommer de nouveaux produits pour protéger leurs enfants.