Pour les assemblées législatives, qu'elles soient provinciales ou municipales, comme celle de Montréal actuellement, ou dans le cas du Code criminel, puisque nous en sommes saisis par le projet de loi C-309, lorsqu'une disposition d'un règlement, d'une loi provinciale ou du Code pénal veut limiter la liberté d'expression, il faut se poser la question à savoir comment la Cour suprême a, dans le passé, interprété ces limites.
When a provision in a provincial law or regulation or in the Criminal Code, such as the one we have before us now in Bill C- 309, seeks to limit freedom of expression, legislative bodies, whether provincial or municipal — for example, the current Montreal municipal government — must ask how the Supreme Court interpreted those limits in the past.