M. Richard Harris (Prince George—Bulkley Valley, Alliance canadienne): Madame la Présidente, en février 2002, le juge Shaw de la Cour suprême de la Colombie-Britannique, se fondant sur la logique qui prévalait peut-être ce jour-là, a décrété que les
écrits du pédophile bien connu Robin Sharpe, qui dépeignaient de jeunes enfants dans diverses poses sexuelles, qui dépeignaient de jeunes enfants comme victimes de violence sexuelle, et dépeignaient de jeunes enfants en train d'être brutalement exp
...[+++]loités sexuellement par des adultes, «avaient une valeur artistique» et a acquitté Robin Sharpe de l'accusation de possession et de distribution de pornographie infantile.
Mr. Richard Harris (Prince George—Bulkley Valley, Canadian Alliance): Madam Speaker, in February 2002, Mr. Justice Shaw of the Supreme Court of British Columbia, using whatever logic or rationale that may have prevailed on that particular day, ruled that the written works of acknowledged pedophile Robin Sharpe, which depicted young children in various sexual poses, depicted young children as victims of sexual violence, and depicted young children being brutally exploited sexually by adults, “had artistic merit” and acquitted Robin Sharpe of the charges of possession and distribution of child pornography.