Dans la décision qu'elle a rendue en janvier 2001 dans l'affaire Sharpe, la Cour suprême du Canada a donné, à la définition existante et à l'exigence que l'écrit préconise ou conseille, l'interprétation suivante: écrit qui, pris objectivement, incite ou encourage à commettre une infraction d'ordre sexuel à l'égard d'un enfant.
In its January 2001 decision in the Sharpe case, the Supreme Court of Canada interpreted the existing definition and its requirement that written material advocate or counsel as meaning material, when objectively viewed, that actively induces or encourages the commission of a sexual offence against a child.