Dans le même esprit, M. Jean-Jacques Bertrand, lui aussi premier ministre, sign
alait que le Québec devait également exercer ses compétences au niveau des recherches minières sous-marines en rajoutant
ceci: «Le Québec ne peut accepter, ni que le gouvernement fédéral agisse unilatéralement pour régir la gestion des cours d'eau provinciaux et y contrôler la pollution, ni que son action
conjointe ...[+++] avec les provinces soit basée sur le concept qu'on utilise très souvent de l'intérêt national (1650) Même l'ex-premier ministre libéral Robert Bourassa, pourtant grand défenseur du fédéralisme au Québec, qui n'est plus là aujourd'hui, déclarait ceci: «qu'en matière énergétique ce ne seront ni l'action unilatérale du gouvernement fédéral, ni les actions dispersées des gouvernements provinciaux qui nous permettront d'atteindre les buts auxquels il faut viser.Continuing with Jean-Jacques Bertrand, another premi
er, who in the same spirit said that Quebec also had to have jurisdiction over underwater mineral exploration, adding that Quebec could not
accept the federal government acting unilaterally to manage provincial waters and control pollution in them,
or acting with the provinces on the basis of the national interest, a concept which is very often invoked (1650) Even former Liberal P
...[+++]remier Robert Bourassa, who was a staunch federalist in Quebec, said that ``in the energy sector, neither unilateral action by the federal government, nor unco-ordinated measures by provincial governments will enable us to reach the necessary goals.