Je ne saurais m'exprimer trop vigoureusement contre un fichier national des agresseurs sexuels, non pas parce que l'idée d'un fichier est foncièrement mauvaise mais parce que c'est un système qui ne marchera pas, qui coûtera cher et qui donnera à la population un faux sentiment de sécurité puisque les gens pourront dire: «J'ai vérifié dans le fichier».
I can't speak strongly enough against a national registry of sex abusers, not because there's anything inherently wrong with a registry, but because it won't work and it will cost a lot of money to create a false sense of security within communities, where people will think, “I checked the list”.