Pour que tout le monde comprenne bien que c'est une position sur laquelle nous n'avons absolument pas changé, je
précise qu'en 1995 déjà, quand George Addy, le commissaire de l'époque, a lancé un processus de consultation sur les propositions de modification—
dont cette question faisait d'ailleurs partie, mais a ensuite été retirée du programme à la suite de l'affaire Schreiber et d'autres problèmes—le CCIB a soumis son point de vue au Bureau et déclaré qu'il était d'accord pour reconnaître que, compte tenu des tendances actuelles et f
...[+++]utures à une internationalisation des activités des entreprises, il fallait donner aux autorités responsables du droit de la concurrence le pouvoir de s'échanger des informations pour être en mesure d'appliquer efficacement leurs lois nationales sur la concurrence.
Just to make sure that everybody understands this is a consistent position going right back to 1995, when George Addy, the then commissioner, launched the consultation process on proposed amendments—part of which was this issue, but it was then pulled back as a result of the Schreiber case and some other problems we ran into—the CCIB made their submission to the bureau, saying that it accepted that current and future trends to greater internationalization of business activities required that competition law authorities be empowered to exchange information in order to effectively enforce their domestic competition laws.