Le deuxième point que je veux soulever, c'est que, je crois qu'il existe une façon de s'en sortir sans pour autant avoir à confronter bien des questions éthiques épineuses—et beaucoup de témoins en ont parlé avec éloquence—si une personne décide d'être donneur et le fait savoir à ses proches au moment de sa décision, c'est dans 91 p. 100 des cas environ—et non dans 55 p. 100 des cas—que ses désirs sont respectés.
The second question I want to raise is that I think there is potentially a way out so we don't have to get into a lot of the thorny ethical issues, and we've heard some very effective testimony to the effect that if an individual decides to be a donor and they communicate that to their loved one at the time they decide to be donors, the number of times when their wishes are respected jumps from about 55% to about 91%.