Dans ce dernier cas, bien que le Conseil de sécurité des Nations Unies ait été contourné, le secrétaire général des Nations Unies de l'époque, M. Kofi Annan, a déclaré « [.] il y a des moments où l'emploi de la force peut être légitime pour préserver la paix».
In Kosovo's case, despite the fact that the UN Security Council was bypassed, Kofi Annan, the UN secretary-general at the time, said, “.there are times when the use of force may be legitimate in the pursuit of peace”.