Là aussi, il
est intéressant de constater que le pourcentage de transfert, alors qu'il est très stable pour les milieux urbains — 14 p. 100 des revenus des urbains au Québec provient des transferts gouvernementaux —, dans le cas les petites localités rurales, les plus pauvres, alors qu'en 1986, ces
transferts étaient presque de 30 p. 100, c'est-à-dire 28,6, ils ne sont plus que de 18 p. 100. C'est une donnée assez surprenante qui reflète peut-être aussi des changements dans les programmes d'assurance-emploi et l'accès à ces programmes
...[+++] pour les régions rurales.
Here as well, it is interesting to note that the transfer percentages, while extremely stable for the urban areas — 14 per cent of urban earnings in Quebec derive from government transfers —, totalled nearly 30 per cent, that is, 28.6 per cent, in 1986 for the small rural communities, the poorest areas; today these rural transfers total no more than 18 per cent. This is a somewhat surprising statistic that may also reflect changes to employment insurance programs and access to these programs in the rural areas.