Les simulations montrent qu'au regard du rapport de prix actuel entre les plantes protéiques et les céréales, ce relèvement n'entraînerait qu'une extension très limitée des surfaces cultivées et cela provoquerait bien entendu également, l'ensemble de ces cultures devant être payé par des aides plus élevées, des dépenses supplémentaires plus élevées que celles correspondant au prix du soja actuellement importé.
Simulations have shown that, with the current price ratio between protein crops and cereals, this increase would only lead to a very small increase in cultivated areas. This would lead to extra expenditure, which would be higher than the price of any additionally imported soya, since the entire crop has to be paid for out of this increased subsidy.