Si nous disions aux Canadiens qu'une personne déclarée coupable de meurtre au premier degré dans les circonstances les plus horribles ne pourra être libérée à moins d'y être autorisée par les Canadiens à qui elle aura adressé une demande en vertu de la disposition de la lueur d'espoir, les Canadiens seraient d'accord dans la mesure où ils se sentiraient vraiment en sécurité.
If we went to Canadians and said that the people who are convicted of first degree murder in the most heinous circumstances will not be released from prison unless they avail themselves of Canadians' will to release them through an application under the faint hope clause, Canadians would say fine, if safety is the issue and we know we are safe.