Premièrement, en l’absence complète d’harmonisation au niveau de la Communauté, l’
Office européen des brevets et les divers offices nationaux de brevets seraient libres de cont
inuer leur pratique actuelle de délivrance de brevets pour des inventions mises en œuvre par ordinateur, ce qui pourrait brouiller, ou même franchir la limite en dérogeant à l’exclusion de la brevetabilité des logiciels en tant que tels en vertu de l’article 52 de la Conve
ntion sur le brevet européen ...[+++].