At that point, access would no longer be a policy or planning issue for a few experts, but something that all Canadians would think about in terms of how to seek and receive help in resolving mental health problems — whether they were fathers with a family, employers, CEOs, union leaders, et cetera.
À ce moment, la question de l'accès ne devient plus une question politique ou de planification de quelques experts, mais amène chacun des Canadiens à penser aux moyens de pouvoir se faire aider pour des problèmes de trouble mental. Ce serait le père de famille, l'employeur, le chef d'entreprise, le chef syndical, et cetera.